viernes, 30 de septiembre de 2011

En avant la musique !

En los cursos FLE también aprendemos canciones para cantar y disfrutar de la música.
Recopilamos algunas:

Michele, de Gérard Lenorman
(les paroles)


¡Ayudanos a hacer crecer el repertorio! Grand merci!

4 comentarios:

Anónimo dijo...

Céline Dion chante
"Pour que tu m´aimes encore"
Chantez avec elle!
http://www.youtube.com/watch?v=A7RzWQqcIfA&feature=related
A + !
Rosana F.

Anónimo dijo...

Si on parle de la musique on ne peut pas oublier Le téléphone pleure, de Claude François
http://www.dailymotion.com/video/x3dogs_claude-francois-le-telephone-pleure_music

Ian

Sandra Pedrini dijo...

Avant Nicolas, Carla Bruni chantait "Raphaël", si vous voulez bien l'entendre et chanter avec elle....
http://www.youtube.com/watch?v=5pwDXjyOukw

Anónimo dijo...

Le groupe "Tryo" chante
"El dulce de leche",
une histoire, deux pays.

www.youtube.com/watch?v=FafoOPY-cow

Letra de El Dulce De Leche :
Il n’avait pas idée, il n’avait pas conscience
A quel point lui manquait les terres de son enfance
La Cordillère des Andes, les cocottes en papier
Le fumet de la viande, la confiture de lait

Il n’avait pas idée, on dira inconscience
A quel point lui coûtait d’être bloqué en France
Rejoindre le pays, l’odeur de l’orchidée
Le temps n’a pas enfoui, el duce de leche

Il faudra reprendre la route,
Devenir français coûte que coûte
Réfugié dans un tiroir
On passe le temps on garde l’espoir
C’est ça être français, j’en doute

Il n’avait pas idée, il n’avait pas conscience
Comme peuvent marquer les blessures de l’enfance
Une larme à Paris, une rose pour Pinochet
Le temps n’a pas enfoui le palais d’Aliente

Comme il avait souri en parlant de la France
Il racontât sa vie, ses années de silence
Les tonnelles en fleurs, le sang sur le pavé
Le départ pour l’ailleurs, el duce de leche

Il faudra reprendre la route,
Devenir français coûte que coûte
Réfugié dans un tiroir
On passe le temps on garde l’espoir
C’est ça être français, sans doute
El duce de leche

Il n’avait pas idée, mais c’est sans suffisance
On peut qu’imaginer les parcours de l’errance
Le prenant par la main, eh l’ami on y est
La famille, les copains, la confiture de lait

Il faudra reprendre la route,
Devenir français coûte que coûte
Réfugié dans un tiroir
On passe le temps on garde l’espoir
C’est ça être français, sans doute

Il faudra reprendre la route,
Devenir français coûte que coûte
Réfugié dans un tiroir
On passe le temps on garde l’espoir
C’est ça être français, j’en doute.